( 21 octobre, 2011 )

21 octobre 2011 – des nouvelles…

L’anthologie des CRV est saluée par Michel Baglin dans Texture : « Les Cahiers de la rue Ventura existent depuis 2008, animés par Claude Cailleau. Après des numéros sur Julien Gracq, Martin du Gard, Jean Joubert, Reverdy, Wellens, Heurtebise, etc. et trois ans après leur création, ils proposent un double n° 13, anthologique, regroupant, par ordre alphabétique, l’ensemble des poètes publiés depuis le début de l’aventure. On trouve notamment dans le 13 A des inédits de Jean-Max Tixier, et on y croise une vingtaine de noms. Idem dans le 13 B Suite et fin de l’alphabet dans un troisième tome à paraître en novembre. » Quant à Claude Vercey, il se fait notre porte-parole dans Décharge : 

« Actualités : On savait déjà qu’était en préparation le dernier numéro de Traces, en forme d’hommage à Michel-François Lavaur… A leur tour, Les Cahiers de la rue Ventura qu’anime Claude Cailleau souhaitent consacrer un dossier à ce même Michel-François Lavaur et à sa revue. « Il ne doublerait pas le dernier Traces, m’écrit Claude Cailleau qui, plus que des témoignages, souhaite rassembler des études sur l’homme, le poète, le revuiste et l’éditeur. »

Tout renseignement sur cet appel à contributions au siège de la revue : 9 rue Lino Ventura – 72300 SABLE-SUR-SARTHE. Ou : cl.cailleau@worldonline.fr 

Lu, aussi, dans le courrier qui tombe en abondance dans ma boîte…  

« L’une des qualités majeures des Cahiers de la rue Ventura est à mon avis son éclectisme (ce qui ne veut pas dire que c’est un fourre-tout, bien au contraire) et vous avez raison de vouloir accueillir des jeunes… Et quand, de temps  en temps, le patron fait entendre son verbe, le plaisir est total. Je sais, vous me l’avez dit souvent, vous ne voulez pas vous servir de la revue pour promouvoir votre propre poésie ; je comprends ces scrupules qui sont tout à votre honneur ; mais je suis toujours très heureux quand vous glissez une page de votre journal (1) ou lorsque vous donnez un édito plus théorique comme dans le n° 9 ; vous pourriez peut-être donner une suite à cet article, puisque vous avez eu, m’avez-vous dit, de nombreuses réactions qui pourraient susciter des réponses. Il est toujours intéressant qu’une revue soit aussi un lieu de débat. Qu’en pensez-vous ? »                                                        (J-M. A.) Et encore ceci, qui concerne deux poètes des Cahiers : « Je vous félicite de la belle tenue de (votre) publication, tant au niveau du contenu que de celui de la présentation. Je suis heureux de figurer au sommaire avec la trilogie que je vous avais confiée. Dans ces pages, j’ai retrouvé avec plaisir des amis et des connaissances. Des « nouveautés » aussi : D’abord Nicolas Grenier qui manie avec talent et humour l’alexandrin d’une manière très originale. C’est une voix que l’on n’a pas l’occasion d’entendre dans une poésie française contemporaine souvent hermétique et intellectuelle. Et puis, quelle séduisante réhabilitation de la rime ! Je ne connaissais pas ce poète qui, semble-t-il, n’est pas jeune (« Il a trois fois mon âge et je n’ai que vingt ans » (2). On aimerait en savoir plus… Dans un autre registre, Philippe Fouché-Saillenfest est, lui aussi, très remarquable. Haut langage, force des métaphores, sens du rythme, références mythiques, thème du loup, qui m’est cher. Bien sûr ce n’est pas un texte « ouvert » et facile. Mais le charme opère, et on a envie de relire. »  (J. J.) 

 (1) Pages de journal de Cl. C. dans le n° 6 : A propos du film « Le Grand Meaulnes »     et dans le n° 9 : la mort de Julien Gracq       (2) Extrait du poème de Nicolas Grenier intitulé « Portrait de l’auteur par une jeune fille dans une rue piétonne » (In Les Cahiers de la rue Ventura n° 13 B)  

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 C’était au Salon de l’Epine en août 2011 

 

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