Dans 10 jours, l’automne…
Et mon thermomètre affiche encore 30° !
Le Cahier 33 est paru. Déjà, des échos nous viennent, de lecteurs qui ont aimé le dossier « Écrire son enfance ».
« Douceur et mélancolie des souvenirs d’enfance, heureux ceux qui en ont, généreux ceux qui les partagent », nous écrit Philippe Lejeune.
Je serais heureux, quant à moi, de les partager avec vous le 28 septembre à la brasserie Le François Coppée, au 1 boulevard du Montparnasse (à Paris). La séance commence à 15 h. Bernard Fournier m’invite à venir présenter Les Cahiers de la rue Ventura dans le cadre du Mercredi du poète. Des auteurs diront leurs textes parus dans la Revue.
Un autre événement, en ce mois de septembre : la sortie aux Éditions Tensing de mon petit livre Je, tu, il – remonté le temps, sondé le silence.
Un recueil de petites proses que je crois poétiques. Le quotidien du poète…
Ce petit livre clôt ma recherche sur l’écriture de la poésie. Après le vers « classique », le vers libre, le verset, voici la prose. Sans l’artifice d’une disposition en vers pour signaler qu’il s’agit bien de poésie, le texte est seul, avec ses images, son rythme, ses sonorités (sa musique), pour que le lecteur l’accepte comme poème.
Voici la couverture du petit livre, avec une photo d’Huguette : le givre sur la fenêtre d’une pièce sans chauffage l’hiver. Sous l’effet du froid, l’humidité se résout en dessins de givre sur la vitre. Seuls les amis qui ont pris de l’âge se souviendront. En ce temps-là, le givre, grand artiste, faisait des merveilles sur les vitres de nos chambres sans feu. Les matins étaient magiques…
Le livre est en vente au prix de 9 € sur le site d’Amazon et sur le site des éditions Tensing. Il vous suffira de taper :
“Je, tu, il – remonté le temps, sondé le silence” (Claude Cailleau)