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( 18 mars, 2017 )

Mars 2017 – Encore un printemps ! Les forsythias ensoleillent le jardin.

Sommaire :

1 – Le Cahier 35 est sorti

2 – Le changement

3 – À la demande…

 

1 - Dans le CRV 35, vous trouverez

  • un dossier sur Marguerite Audoux de son vrai nom Marguerite Donquichotte, patronyme dû à un employé d’état civil facétieux qui en affubla son père, enfant trouvé.  M. Audoux, gardeuse de troupeaux puis couturière, mais surtout Prix Femina 1910 pour son roman Marie-Claire,
  • de la poésie signée Pierre Borghero, Éric Desordre, Leafar Izen, Jean-Michel Jouan, Marcelle Kasprowicz, Isabelle Lévesque, Jean Pichet, Sydney Simonneau, Françoise Vignet,
  • « des jours entre les mots », par Michel Passelergue,
  • une nouvelle de Gabriel Burel,
  • Un hommage à Armand Robin par Marie-Josée Christien,
  • et une présentation des nouvelles publications du trimestre.

2 – Le changement… c’est – et je le regrette – Jean-Marie Alfroy, notre rédacteur en chef, qui abandonne son poste.

À partir de mars, les textes et toute correspondance doivent être envoyés à l’adresse informatique suivante :

< amis.rueventura@hotmail.com >

ou à < cl.cailleau@orange.fr >

La revue continue :

le prochain dossier : René Guy Cadou,

en septembre, Le Nouveau Roman.

Et, en 2018, l’écriture poétique. Vaste programme !

 

Couv 35

 

 

Pour répondre à une demande…

 

Le blog reçoit de nombreuses visites. Celui qui vient nous voir pour la première fois n’a pas toujours le temps de descendre dans les pages, si bien que j’ai reçu récemment des mails de lecteurs qui s’étonnent de me voir abandonner la poésie. Certains, même, n’y croient pas.

Pour ceux-là, j’ai pensé qu’une petite mise au point s’imposait sur le blog. Je reprends donc ici les quelques lignes envoyées aux amis en septembre pour leur annoncer la sortie de mon dernier livre de poèmes…

« Après le vers ‘classique’ (Mots du jour et de la nuit), le vers libre (Sur les feuilles du temps), le verset (Le Roman achevé), voici la prose (Je, tu, il – remonté le temps, sondé le silence). Sans l’artifice d’une disposition en vers pour signaler qu’il s’agit bien de poésie, le texte est seul , avec ses images, son rythme, ses sonorités (sa musique), pour que le lecteur l’accepte comme poème. »

Et un critique d’ajouter : « Avec ce livre de petites proses, Cl. C. considère que s’achève sa recherche sur l’écriture de la poésie. »

Les livres cités ci-dessus son toujours en vente, sur le site d’Amazon ou sur celui des éditeurs. Si vous les demandez à votre libraire, à moins que ce ne soit un fan de poésie – prêt à ne rien gagner ou presque rien, pour votre plaisir – il vous répondra, comme l’avait fait un libraire de La Flèche pour mon album qui venait de sortir aux Éditions Grandir : « Oh, ce bouquin-là, c’est vieux. Il y a longtemps qu’il est épuisé » (j’avais conseillé à celui qui voulait le commander de changer de libraire).

Donc, si vous souhaitez connaître les étapes de ma recherche en poésie, voilà…

Mots du jour et de la nuit – Éd. du Gril – repris par les Amis de la rue Ventura – 7 €

Sur les Feuilles du temps – Éd. Écho Optique – 10 €

Le Roman achevé – Éd. du Petit Pavé – 8 €

Je, tu, il, remonté le temps, sondé le silence – Éd. Tensing – 9 €

Ceux que l’ensemble intéresserait devraient donc normalement prévoir 34 €…

Mais si c’est vraiment l’ensemble qui vous intéresse, contactez-moi : je peux vous obtenir une importante réduction et je vous offrirai volontiers le livre qui manque à cette liste : Crépuscules. Un essai un peu fou pour concurrencer Mallarmé ! Rien de moins !

Ceci dit, je ne publierai plus de poésie, n’en déplaise à ceux qui ne me croient pas. Je me contenterai de publier mes confrères dans ma revue Les Cahiers de la rue Ventura. Laquelle revue se porte bien : nous avons dû commander deux tirages complémentaires du 35  pour répondre à la demande.

Et, pour finir, un pèlerinage sur les terres de Julien Gracq, romancier, autobiographe et poète (la photo de sa maison et le jeune homme au chapeau de bourlingueur, devant le petit portail, c’est moi !). Julien Gracq, un des plus grands écrivains du 20ème siècle, celui que je saluais dans le premier numéro de ma revue…

Si vous êtes libre le dimanche 23 avril, venez à 15h à Saint-Florent le Vieil, dans la grande maison proche de celle de Gracq, qu’ils appellent – à tort -  le Grenier à Sel. Françoise Nicol, professeur à l’Université de Nantes, nous parlera de Paul Éluard.

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